de Hype Williams
Réalisation assez bancale, espérons que le réal est pas allé en école de cinéma. Script peu profond et pas de résolution pour le dénouement. Peu de pistes exploitées. Personnages assez vide. Nas est carrément comique tellement il joue mal (tu parles trop fort). Par contre Dmx, Method Man et le rudeboy jamaïcain assurent plutôt bien.
5.9
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16 May 2013
30 April 2013
Hurly Burly, 1998
de Anthony Drazan
Adapte d'une piece de theatre, le film decrit différent types de connards made in Los Angeles et leurs dialogues existentiels. Spacey et Penn sont deux colloques qui bossent dans une grosse boite de production de cinéma. Ils discute entre eux, avec leur pote psycho, avec leur pote qui ramène des jeunes filles égarées.
Fin sentimentale qui m'a surprise et qui marche bien. Sean Penne est bon en cocké en surrégime et en perdition. Meg Ryan en putana consciente. Spacey en faux derche calculateur. L’être et le paraitre.
Bizarre, un peu raté mais ca me laisse un bon souvenir au final. Certains passages bien gonflant. Dialogues beaucoup trop sophistiqués pour être crédible 2 minutes.
Quelques bons points noyés dans des torrents de conneries et d'indulgence pseudo-intellectuelle.
6.7
Adapte d'une piece de theatre, le film decrit différent types de connards made in Los Angeles et leurs dialogues existentiels. Spacey et Penn sont deux colloques qui bossent dans une grosse boite de production de cinéma. Ils discute entre eux, avec leur pote psycho, avec leur pote qui ramène des jeunes filles égarées.
Fin sentimentale qui m'a surprise et qui marche bien. Sean Penne est bon en cocké en surrégime et en perdition. Meg Ryan en putana consciente. Spacey en faux derche calculateur. L’être et le paraitre.
Bizarre, un peu raté mais ca me laisse un bon souvenir au final. Certains passages bien gonflant. Dialogues beaucoup trop sophistiqués pour être crédible 2 minutes.
Quelques bons points noyés dans des torrents de conneries et d'indulgence pseudo-intellectuelle.
6.7
16 November 2012
Your Friends & Neighbors, 1998
de Neil LaBute
Comédie de mœurs sur la vie de couple, l’amitié, les sentiments, toutes ces conneries quoi. Documente divers types de douchebags middleclass urbains: Mary, Barry, Terri, Chery, Cary et Jerry. Marrant de voir comment les acteurs se sont fait des têtes de cons, j'imagine pour bien se distancer de leurs personnages. Palme d'or pour l’excellent Jason Patrick et son personnage qui se serait bien entendu avec Patrick Bateman durant un diner au Dorcia autour d'une bouteille d'eau de source en verre. Bons acteurs, écriture parfois vraiment bonne.
Manque pas mal de punch un peu, contrairement au superbe Company of Men. Bien, bien moins acide également.
6.3/10
Comédie de mœurs sur la vie de couple, l’amitié, les sentiments, toutes ces conneries quoi. Documente divers types de douchebags middleclass urbains: Mary, Barry, Terri, Chery, Cary et Jerry. Marrant de voir comment les acteurs se sont fait des têtes de cons, j'imagine pour bien se distancer de leurs personnages. Palme d'or pour l’excellent Jason Patrick et son personnage qui se serait bien entendu avec Patrick Bateman durant un diner au Dorcia autour d'une bouteille d'eau de source en verre. Bons acteurs, écriture parfois vraiment bonne.
Manque pas mal de punch un peu, contrairement au superbe Company of Men. Bien, bien moins acide également.
6.3/10
24 February 2012
Louis Theroux Weird Weekends, 1998

Série de documentaires de 50 minutes sur diverses sous cultures qui rappelle parfois un bon vieux Striptease. Louis est assez bon pour poser les questions pertinentes et arrive souvent a percer les personne qui l’accompagne. Il essaye toujours de comprendre pourquoi les gens font ce qu'il font mais se contente rarement des réponses habituelles. Dans certains épisodes Theroux ne croit clairement pas du tout au phénomène qu'il etudie et/ou tous les mecs qu'il interroge sont clairement pas crédible (U.F.O, survivalists, wrestling, enlightment) mais il arrive quand meme a aller un peu plus loin que les reportage classiques. D'autre épisodes sont vraiment ahurissants au premier degrés (medicated kids, Miami superjail, the brothel, Thai brides, Law and desorder in Johannesburg..).
"Born Again Christians"
"UFOs"
"Porn"
"Televangelists"
"Louis and the brothel"
"Behind Bars"
"Under the Knife"
"Enlightment"
"Survivalists"
"Weird Christmas"
"Infomercials"
"Swingers"
"Black Nationalism"
"Demolition Derby"
"Off-Off Broadway"
"Wrestling"
"Body Building"
"Thai Brides"
"Gangsta Rap"
"America Medicated Kids"
"Law and Disorder in Philadelphia"
"Law and Disorder in Johannesburg"
"Inside Miami Super Jail"
Note: 8.5/10
07 June 2011
Croupier, 1998

Pas mal ce petit film sur les.... coupiers. Ca se la joue un peu trop sur la fin avec un rebondissement qui sert a rien (a moins que j'ai pas compris). Des bonnes phases sur les combines des joueurs et les magouilles des casinos.
Note: 7.7/10
24 May 2011
Another Day in Paradise, 1998

Bon film de junkies, parfois un peu facile (on se drogue=on est cool) mais joue avec gusto par James Wood et Melanie Griffith.
Junkie a la petite semaine qui braque des distributeurs dans des lycees, Bobby se fait embrigader par Mel et Sid (Wood et Griffith) pour un bon coup bien peper et bien payer. Évidement ca part en couille.
6.1/10
24 January 2011
Happiness, 1998

Bijou d'humour noir, parfois troublante sur la sexualité, l'isolement et l’aliénation d'une brochette de gens considérés 'normaux' par la norme.
Le film s'articule autour de 3 sœurs, leurs vies et leurs relations amoureuses. La première est une grosse dépressive qui prend toujours les mauvaise décisions et ne sais pas du tout ou elle va dans la vie. La seconde est une mannequin idolâtrée de tous, froide, vaine et superficielle. Son voisin (Hoffman) est un mec complètement coince et qui fantasme a bloque sur elle et l’appelle parfois au téléphone pour se branler au son de sa voix alors qu'il ose même pas lui adresser la parole quand il la croise. La 3eme est mère de famille, mariée a un psychiatre avec un enfant et un chien, elle se croit heureuse, en plein dans le rêve américain, mais elle n'a plus aucun contact sexuel avec son mari depuis des lustres, ils vivent dans l'hypocrisie parfaite du mariage, ce qu'elle n'arrive même pas a s'avouer. De plus, elle n'en sait rien mais son mari est victime de puissante pulsions pédophiles. Tous les personnages de cette comédie de mœurs (comedie tres noire) sont minables, malheureux et insatisfaits a leur façon.
Va te faire foutre Sundance. Un film particulier par le sujet abordé, et unique par le ton avec lequel le sujet est traité. Un de mes favori.
Note:8.9/10
29 December 2010
Buffalo '66, 1998

Billy sort de prison et personne ne l'attend dehors. Avant de rejoindre ses parents (a qui il a fait croire qu'il etait en voyage a l'etranger) il kidnappe Layla puis la convainc de s'y rendre avec lui et de se faire passer pour sa 'loving wife'. Début d'une relation etrange.
Particulier et bien sombre avec quelques scènes mémorables.
Note:7.0/10
20 September 2010
Dieu seul me voit, 1998

On a pas mater la version "interminable" (10h) mais ca me donne envie de voir ses autres films. Y'a des moments franchement marrant et on finit par s'attacher au personnage principal et toutes ses interrogation existentielles. Certaines scènes du film rappellent une comédie type Les Bronzes et c'est parfois aussi assez expérimentale/délire au niveau du montage.
Note:8.1/10
22 July 2010
Run Lola Run, 1998

Lola a 20 minutes chrono pour trouver 100.000 sinon son boy-friend se fait suicider dans un parking. L'acting est très bon, mais c'est surtout la mise en scène super créative qui fait le film et le rend si unique. Super original et donc pas vraiment comparable, une experience a part, bourrée de bonne idées et de créativité. Ca bout d'énergie du début a la fin, c'est frai, super original, ça change.
Note:8.3/10
25 April 2010
Spriggan, 1998

L'arche de Noé a été découverte dans le dedans d'une crevasse dans le fin fond de la Sibérie. C'est pas juste des bout de bois, l'Arche est évidement pleine de pouvoirs ésotériques chelou. Premier chalenge: réussir a rentrer dedans tout en la protégeant contre les attaque d'une section secrète du pentagone Américain qui fait tout ce qu'elle peut pour s'approprier la découverte. Le boss de cette section secrète, le "colonel" est vraiment un personnage interessant avec son look de gamin de 14ans plein de dérivation cortical qui lui sorte de sous sa casquette. Un peu brouillon avec quand même pas mal de bonne idées.
Note:6/10
15 March 2010
Out Of Sight, 1998

Apres le petit flop (injuste) de Schizopolis, Steven avait besoin de faire un film qui plaise a tout le monde histoire de sortir du désert. Il change ici radicalement de registre avec cette comédie romantique/film de braquage a la cool.
Les prémices: George le braqueur de banque invétéré au cœur tendre tombe instantanément amoureux d'une marshall en s'enfuyant de prison. Le scenar mets pas trop la pression, on prend pas trop au sérieux les menaces qui pèsent sur les personnages, on attend juste de voir c'qu'il va se passer. C'est trop a cheval entre la comédie et le thriller sans être ni particulièrement marrant ni faire faire dans son froc de suspens. George Clooney joue son personnage de George Clooney, le gangsta joue par Don Cheadle passe moyennement, surtout en matant ce film entre 2 épisode de The Wire. C'est léger, ça se laisse regarder mais c'est très loin d'être inoubliable.
Note:4.8/10
15 September 2009
The Big Lebowski, 1998

Mon premier vrai coup de cœur avec le cinéma, ce film reste un de mes classiques depuis 10 ans. Je l'ai bien mater 15-20 fois et franchement je ne m'en lasse toujours pas, chaque scènes, chaque personnages, chaque dialogues défoncent, y'a pas un temps mort. Apres avoir découvert ce film, j'ai mater toute la filmographie des freres Coen et je suis devenu fan (Arizona Raising et The Hudsucker Proxy sont les 2 que j'ai le moins kiffer mais faudrait les re-mater aujourd'hui...). C'est la première fois que je captais que certains réalisateurs avaient une 'griffe' et qu'on pouvait facilement reconnaître leur style de films en films. The Big Lewbowski est archi-culte aujourd'hui ca c'est clair, mais je le trouve quand même under-rated cinématographiquement, ca grouille litteralement de details.
!!Attention. La section de texte ci-dessous contient des spoilers qui vont definitivement corrompre ton enjoyment de ce film si tu l'as toujours pas vu (shame on you)!!
Jeffrey Lewbowski est a mon sens, le personnage le plus passif du cinéma moderne. A part le coup de la planche cloutée (qui ne servira a rien et ce retournera même contre lui), et le papier chez TreeHorn (idem), il ne prend aucune initiative de tout le film. Il se fait balader par son pote Walter et ses idées a la con et on le voit même pas lancer une boule de bowling, alors qu'il fait que ça de sa vie. Un vrai pacifiste-bat les couilles qui se laisse porter par les événements, c'est a ça que le narrateur pense quand il dit qu'il colle parfaitement dans le tableau de l'Amérique du début des 90's? Je sais point.
Walter Sobshack est a inscrire au Pantheon des meilleurs personnages jamais ecrit et interprété dans un film. Vous avez grille sa boutique de sécurité quand le Duc passe le prendre pour aller donner la rançon? C'est pour ça qu'il peut checker le passe judiciaires de Jesus et trouver l'adresse de Larry Sellers. Il demande systématiquement a Denis de se la fermer des qu'il ouvre sa gueule, limite un réflexe, sauf quand Denis leur parle de la prochaine rencontre du tournois. Le fait que le Duc menace Walter de quitter l'équipe, c'est la menace extrême qui le convainc direct de prendre la voiture malgré le Shabbat. Big up a John Goodman pour ce rôle (il va être heureux la, c'est sur).
N'oublions pas la musique, cher aux frères Coen, qui est juste parfaite du début a la fin. Les morceaux choisient sont somptieux (Chez TreeHorn, chez Maude, chez le duc, pendant ses trips...). Mention speciale quand meme pour le duc qui écoute sur son Walk-man les finales de League Bowling en face A et du Bob Dylan en Face B qui enchaine quand il prend sa pastèque. Aussi les baleines dans son bain avec sa pince a épilé, et le gros clin d'œil au CrabesVerts.
La bate des nihilistes, le rongeur amphibie, Karl Hungus, Deluge de Poutre, Brant, le co-equipier de Jesus...
Note:9.9/10
12 June 2009
Zonzon, 1998

Bonne surprise en fin de compte, je me rappelai d'un film vraiment nul et en fait c'est pas si pire. Jamel joue un peu son role certe, mais il m'a limite convaincu et il s'en sort avec les honneurs. Pascal Gregory joue bien aussi, mais a cote y'a plein d'acteurs qui sont vraiment a cote de la plaque. Le scenar c'est rien de fou mais c'est un film de prison en meme temps...Y'a un petit poster de la cliqua dans la cellule c'est marrant... Faudrait que la France se bouge un peu plus le cul pour faire des drames de societe comme celui la, mais des vrais drames de societe, pas des merdes sur la depression chez les cadres comme on aime tant les faire.
Note: 7/10
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