Fear of a black hat, 1993

de Rusty Cundieff
Le film suis la carrière dans le business et en coulisse du group de gangsta rap Nigga With Hats.
Comédie pas aussi conne qu'elle en a l'air sur l'industrie du Gangsta Rap au debut des 90s.
Plein de clins d'yeux a P.E., N.W.A., etc...
6.6/10

Robin Hood, Men in tights, 1993

de Mel Brooks
Après s’être échappée des prisons de Jérusalem a la suite des croisades, Robin rentre dans la foret de Sherwood et se bat contre l'imposteur qui a volé le trône d'Angleterre. Moins  de cadence que dans Frankenstein. Pas mal de gags qui font "references" aux autres Mel Brooks (Walk this way...etc...). Le premier role de Dave Chappelle qui debute sa carriere a Hollywood.
6.7/10

National Lampoon's Loaded Weapon 1. 1993

de Gene Quintano
Comédie débile avec des bonnes vannes a 2 balles.
Dr. Harrold Leacher: Quid pro quo Mr Colt.
Colt : What does that mean?
Dr. Harrold Leacher : It means I'm pretentious.
Note:7.4/10

Métisse 1993

de Mathieu Kassovitz
Comedie "de moeurs" légère sur le melting-pot pot francais. Lola, est enceinte mais elle ne sait pas duquel de ses deux amants: Un juif blanc pauvre ou un musulman noir fils d'ambassadeur. Si le film n'est vraiment pas terrible, il montre un peu Panam de 1993 (je m'attendais a plus tout de meme) avec des petits fat TVA et de quelques pieces old school a droite a gauche. Kassovitz etait-il au courant qu'Assassin n’était pas le seul groupe de rap a l’époque?
6.45/10

Clean Shaven, 1993

De Lodge Kerrigan
Bien fucked-up. Un mec dans un hôpital psychiatrique qui se tape la tête contre les murs. Une fois dehors il se met a la recherche de sa fille, adopte par de nouveau parents lorsqu'il a été institutionnalisé. C'est plus le voyage que la destination qui compte ici. Immersion dans le psyché completement torture du protagoniste.
Bande son avec des bruitages organiques et électroniques en forme d’interférences qui traduisent bien l'etat mental du protagoniste. Interprétation assez monstrueuse de Peter Green. Tourne en 2 ans avec 3 radis, le résultat est loin de caresser dans le sens du poil mais est prenant et assez unique.
7.5/10

Les Visiteurs, 1993

De Jean-Marie Poiré
Morte-couille
C'est beauf mais c'est bon, très bien écrit, dirige et interprété. Et pour une fois c'est 100% produit du terroirs français. Mama Timon et Dzaz, j'avais l'impression que vous étiez a cote tout au long du film tellement j'vais entendu tous les dialogues 100x ;-)
Note:8.8/10

Homicide, Life on the Street, Seasons 1 & 2, 1993-1994

Créée by Paul Attanasio
Vieille série basé sur le 1er bouquin de David Simon "Homicide: A Year on the Killing Streets" dans lequel il fait le récit d'une année passée parmi la homicides unit de Baltimore. J'étais curieux, d'autant que les critiques pour les 2 premières saisons (14 épisodes en tout) sont vraiment bonnes.
C'était très bien au début, super dialogues, bons ou très bons acteurs (pour 90% du cast), bon rythme, bonne phases d'enquête. Pas aussi immersif et détailler que The Wire mais quand même bien. Puis vite les personnages ont commencés a devenir chiant, parfois même carrément insupportable, et les épisodes parlaient de moins en moins de meurtres.
Detective Pembleton, Crosetti and Stan Bolander=classe
Beau, Munch=pas classe
Note (saison 1 et 2): 7.7

Le Grand Detournement, 1993

"...moi j'appel ça du plagiat... J'aime pas trop les voleurs, et les fils de putes..."
De Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette
Classic shit qui se regarde et se re-regarde encore et toujours, avec a chaque fois de nouvelles astuces et des nouveaux jeux de mots plus ou moins minable a découvrir ou re-découvrir. Le grand détournement est constitue d'une multitude de scènes issues de grand films de la Warner Bros, toutes mélangées, mixées, re-montées, et évidement re-doublées a outrance. Un travail de titan qu'on ne peux pas apprécier dans son ensemble en un seul visionnage. Deux personnage de deux films différent qui se répondent, des scènes reprise 3/4 fois avec un dialogue différent a chaque fois, c'est super bien foutu. De la scene d'ouverture a la conclusion ça n'arrête pas, et ça devient vite chaud de s'y retrouver entre les personnages et commencer a apprécier le film dans son intégralité. On reconnait Farougia et Chabat a l'ancienne qui font deux voix vite fait.
Note: 8.5/10