de Ridley Scott
Le 'conselor' (il reste anonyme tout au long du film) est un avocat qui a l'air de plutôt bien réussir professionnellement. Reiner, l'un de ses collaborateur, est impliqué dans des grosses histoires de drogues avec les cartels mexicains et lui propose de se joindre a lui mais le conselor refuse. Quelques années plus tard, ayant besoin d'argent pour son futur mariage, le counselor décide finalement de tenter le coup et de prendre part à une transaction, une seule, malgré les mises en garde répétées de ses amis et conseillers.
La mise en scène n'a rien de spécial, c'est très joli mais c'est pas inoubliable (un peu inspiré de Breaking Bad pour les filtres jaunes et les couleurs pales utilisés pour filmer le désert, hein Ridley?).
Le publique et les critiques ont beau se branler dessus, ce film reste une expérience assez anti-climatique et je peux pas m’empêcher d'être dessus par un gâchis d'acteurs de premier ordre (même pas besoin de mettre leur nom sur l'affiche tyavu) et des dialogues pseudo-philosophiques complétement dispensables et over the top (y'a des scènes, genre la première, où ils sont carrément insupportables). Ça se la joue trop métaphysique pour être un thriller efficace comme ça aurait pu l'être. Script (original) de McCarthy qui va pas chercher ses idées beaucoup plus loin que l'un de ses précédant bouquin adapté (No Country for Old Men) mais en moins efficace et beaucoup plus pompeux.
Note: 6.2/10
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