23 August 2012

Any Given Sunday,1999

de Oliver Stone
Montage aux stéroïdes, musique puissante qui met en relief l’intensité de ces sportifs qu'Oliver Stone nous présente comme les gladiateurs moderne. Moby, Propelerhead... mouai. Comparaisons avec le monde animal et les militaires, autorité, discipline, ordres, religion a la fin du match. Cameo de stone en commentateur. Les joueurs sont loin de l'image d'exemple qu'il renvoient et s'indulgent dans tous les vices. Physiquement c'est des catcheurs, constamment au bord de la paralysie, sous une constante suppervision medicale qui gèrent leur condition plus ou moins scrupuleusement en fonction des objectif long/court terme du club qui les emploi. Y'a meme un mec qui perd son œil si t'as pas bien compris. C'est un gros show, un gros spectacle, le publique décervelé se tape sur la gueule, une exploitation des joueurs par les clubs, les sponsors, les contrats télés. Pacino en place comme d'hab. Le sub-plot de Cameron ne sert par contre vraiment a rien a part foutre une belle gueule sur l'affiche.
Note: 6.45/10

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